Energie(s ?)

Ah problème...
Dans l'article sur l'univers, je parle d'énergie :
"ENERGIE : 3,015 X 10^70 J"
Avec la formule d'Einstein : E = mc², on peut assimiler cette énergie à de la matière "transformée".
Mais dans plusieurs autres articles, je parle d'énergie comme celle qui serait produite lors de la réunion d'une particule de matière et d'une particule d'anti-matière (photon).
Or, cette dernière énergie ne peut être assimilé à de la matière comme la première !
Il y a donc forcément un bug ici et pour le corriger, il me semble nécessaire de supposer l'existence de deux types différents d'énergie :
Le premier, l'énergie de la matière (avec son opposée logique : l'énergie de l'anti-matière) ;
Et le deuxième, une énergie totalement différente : celle nécessaire à la séparation matérielle (création simultanée de matière et d'anti-matière), énergie qui ne correspondrait pas au "E" de E=mc² (le photon ferait partie de ce dernier type d'énergie...)

Création de l'univers...

Il paraît que la réunion entre une particule de matière et une particule d'anti-matière produirait une particule d’énergie qui ne soit : ni matérielle ni anti-matérielle (un photon). Personnellement je n’en suis pas convaincu mais bon… En supposant que ce soit juste, cela implique que la création simultanée de matière et d'anti-matière nécessite une particule comme le photon pour être possible. (Cela explique le début du paragraphe 2 de mon article sur les trous noirs) Cette idée est envisageable, d’autant qu’elle peut expliquer l’origine et le destin final de notre univers : Toujours d’après moi, à la fin de la vie de celui-ci un « Big-Crunch » serait probable et l’ensemble de la matière se retrouverait aspiré à l’intérieur de tous les trous noirs existants. Il ne restera donc plus aucune matière ni aucune anti-matière mais une très grande quantité d’énergie, tellement grande qu’une séparation matérielle gigantesque se relancerait ensuite recréant un Big-Bang et ainsi, un univers… (c’est également ce qui aurait créé le nôtre)

MVB 23/6/2005

Les univers parallèles.

On emploi le terme de "Univers parallèles" pour désigner toutes les combinaisons possibles d'agencement du contenu de notre univers dans le temps.
Exemple simple : un univers qui serait identique au nôtre à cela près qu'il aurait eu,
un centième de milliardième de milliardième d'électron qui se serait décalé,
d'un millionième de milliardième de milliardième de milliardième de centimètre,
pendant environ un demi milliardième de milliardième de milliardième de milliardième de milliardième de seconde,
serait considéré comme un univers parallèles (de degré 1) du nôtre.

Calcul de toutes ces combinaisons possibles :
- En un temps de Planck (tp), le nombre de combinaisons d'agencement de toutes les longueurs de Planck (lp) de l'univers est égal à la factorielle du (nombre de particules élémentaires de l'univers (npe) multiplié par le nombre de lp par particule élémentaire (lpe)) = mnu! (voir légende)
- Ensuite pour faire sur la durée de vie totale de l'univers, on met le nombre précédent à la puissance du (nombre de tp de la vie totale de l'univers (tvu)) car à chaque tp, le nombre de combinaisons pour un tp est multiplié par lui-même.
D'où : mnu!^tvu

Le nombre total d'univers parallèles possibles est donc égal à : la factorielle du (nombre de longueurs de Planck utilisées dans de la matière (ou dans de l'anti-matière)) puissance (le temps de vie de l'univers (en temps de Planck))
= nmu!^tvu
= (10^180)!^(1,7562702205336736813985930960791(10^61))


Légende :
lpe = taille moyenne d'une "particule élémentaire" (unité : longueurs de Planck = 1,61605(10^-35) m). (~10^20 = ~10^-15 m)
npe = nombre de "particules élémentaires" (matérielles et anti-matérielles) dans l'univers (pas d'unité). (~10^160)
tvu = la durée de vie totale de l'univers (unité : temps de Planck = 5,39056(10^-44) s). (1,7562702205336736813985930960791(10^61) = 9,46728(10^17) s = 30 milliards d'années)
nmu = le nombre de longueurs de Planck dans l'univers (pas d'unité). (lpenpe = 10^180)

(Les valeurs données dans la légende sont incertaines et approximatives)
MVB 11/9/2006, 16:40:0

La théorie des échelles

Dans ma "Théorie des échelles", une longueur de Planck est en fait, un univers entier mais à une échelle bien plus basse que le notre car dans cette théorie, notre univers est composé uniquement d'autres univers, chacun de la taille d'une longueur de Planck.

Et les univers sont tous : en "poupées gigognes" à l'infini (dans le sens microscopique comme macroscopique).
MVB 23/4/2006

L'Univers

ÂGE : (âge >= 13,7 milliards d'années) ou [ >= 4,323391831152 X 10^17 s. (en 2000)]

DIAMETRE : > 3,0696077583272988 X 10^19 km.

MASSE : 3,35 X 10^53 kg

D’OÙ L’ENERGIE : 3,015 X 10^70 J

GEOMETRIE PRESUMEE : Hypertorique à domaine fondamental dodécaédrique de Poincaré.

TEMPS : Temps s'écoulant par section de 5,39056 X 10^-44 s. (temps de Planck)

LEGENDE : X = multiplication ; ^ = puissance

(Données approximatives et hypothétiques) MVB 1/2/2005, 19:0:53

Trou noir

1) Une grosse étoile en fin de vie se contracte sous l’effet de la gravitation.

2) L’énergie produite est suffisante pour commencer la création simultanée de matière et d’antimatière. L’antimatière reste sur place tandis que la matière est éjectée à la vitesse de la lumière sous forme de rayons gammas.

3) La matière a été éjecté, mais l’antimatière reste en si grande quantité et dans un espace si réduit qu’elle créée un astre ultra dense muni d’une immense attraction gravitationnelle qui réunira ensuite de la matière aspirée et son antimatière d’origine. Elles s’annihilleront mutuellement jusqu’à ce que la masse d’antimatière devienne nulle.

4) Vous avez un trou noir.

MVB 23/11/2005, 13:59:7

L'indépendance topologique de parcours

- Si un élément X en mouvement (pouvant être un objet comme tout être vivant), déroulait derrière lui un fil tout le long de son déplacement, moins il emmêlerait* son fil, meilleure serait au final son indépendance topologique de parcours (si à la fin on tend le fil, il doit se retrouver le plus linéaire possible).

Et une variante de cette propriété :
- Si un point X en mouvement (pouvant être un atome comme tout ensemble de particules), déroulait derrière lui un fil tout le long de son déplacement, moins on verrait le fil se croiser (quel que soit l'angle de vue), meilleure serait au final son indépendance topologique de parcours (le fil doit faire le moins de boucles possible ou entourer le minimum d'axes de particules*).

* Quelle que soit la version de la propriété, celle-ci requiert la présence : d'éléments dans lesquels emmêler le fil, ou de particules à entourer.Dans le vide absolu, quel que soit le mouvement du point (ou de l'élément) son indépendance topologique de parcours est maximale.

MVB 9/1/2007